L'étude d'un étudiant en sciences humaines, Daniel Viaud, publié en 1967, nous éclaire sur les conditions de vie à Velles, un siècle plus tard.
Dans ce premier chapitre consacré à la "nuptialité" on peut y lire ceci à propos du mouvement saisonnier des mariages :
" 170 mariages sur la période étudiée 1675 à 1693, très grande inégalité dans le nombre annuel de mariage, la moyenne annuelle est de 9.
L'inégalité de la répartition saisonnière des mariages au cours de l'année, est l'un des faits notoire de la nuptialité à toutes les époques.
La comparaison avec différents travaux déjà effectués, témoigne que malgré l'étroitesse de notre échantillon statistique, notre mouvement saisonnier reste parfaitement valable.
Les trois creux habituels sont parfaitement visibles : les deux plus importants, le Carême et l'Avent. Le troisième étant août, l'époque de la moisson.
Les pointes principales s'y retrouvent mais avec des proportions toutes différentes de celles relevées fréquemment.
A Velles, c'est le maximum de février qui est de loin le plus important : 26% des mariages se font en février. Il arrive que 6 à 8 mariages se célèbrent au cours de ce mois. Extrême faiblesse de mai à juillet".
D'un siècle à l'autre.........
La troupe Festi'Velles réinvestira le théâtre de verdure des prairies de Velles, les 4-5-6-7 juillet prochains, pour présenter la nouvelle édition du spectacle historique nocturne :" Mademoiselle de La Motte- l'Insoumise", dans le cadre du "Festi'Lumière de Velles 2014".
(Tarifs-Billetterie-Réservations, voir la rubrique liens de ce blog)
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