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dimanche 30 août 2015

La Seigneurie de Beauregard au 18ième siècle. Chapitre 40

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

Les sujets abordés sont variés et permettent de mieux comprendre la vie locale au cours des siècles.

 
La consultation des archives départementales est toujours riche de surprises. La dernière trouvaille est un mémoire de maitrise, réalisé par une étudiante de l'université Paris-1, Monique Labaye.

Il traite, pour notre plus grand plaisir, de la Seigneurie de Beauregard au dix huitième siècle.

A l'image d'un précédent mémoire sur la population de Velles à la fin du dix septième siècle, nous publions ces travaux sous forme de feuilleton. Ce chapitre 40 traite toujours des charges de la Ferme Générale. On peut y lire ceci :

"Il ne s'agit pas seulement de droits entièrement attachés à un passé féodal. La clause concernant le produit des étangs réservé au bailleur est de nature complexe : à coté de la part fixe de cent cinquante livres de poisson, il est fait une place à une relation de type moderne entre bailleur et preneur par le biais d'une transaction opérée sur le surplus que le bailleur acquiert."

"Les charges qui pèsent sur le fermier général se traduisent par des services dont l'objet vise à la mise en valeur de la réserve (charrois de foin, transports des vendanges, journées de labour), à l'entretien des biens affermés (transport des matériaux de construction, réfection des clôtures), et à la fourniture de la matière première servant à la fabrication d'instruments agricoles."

"Dans l'observation  de ces diverses prescriptions, le fermier général apparait comme le garant d'une gestion intermédiaire et fait figure en quelque sorte de régisseur : à charge pour lui de répartir entre les colons des métairies et locatures les travaux, de fournir à ses dépens matériaux et attelage."

Les charges de la ferme générale ont une nature et une origine composites : liées aux biens affermés, inscrites dans un rapport de type féodal avec la relation de services entre réserves et tenures, en prise avec les ponctions opérées par le fisc, le clergé, l'apanage d'Artois."

"Leur paiement en nature : en céréales, ne nous permet guère d'apprécier leur véritable poids puisque nous ne possédons aucune estimation  globale des quantités de grains récoltés, et que nous ne connaissons pas le degré de rentabilité du sol."

                                                                                              ( à suivre )

 
Retrouvez la liste complète des articles publiés sur le blog, par date, par thème : « Bibliothèque du Blog » dans la rubrique « liens » en haut à droite.


 
L'atelier se réunit les mercredi soir de 18h 30 à 20h00, dans le local de l' ancienne colonie.

La feuille de route 2015, prévoit la réalisation d'une exposition sur la Guerre 14-18.






lundi 17 août 2015

La Seigneurie de Beauregard au 18 ième sècle Chapitre 39.

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

Les sujets abordés sont variés et permettent de mieux comprendre la vie locale au cours des siècles.
  
La consultation des archives départementales est toujours riche de surprises. La dernière trouvaille est un mémoire de maitrise, réalisé par une étudiante de l'université Paris-1, Monique Labaye.

Il traite, pour notre plus grand plaisir, de la Seigneurie de Beauregard au dix huitième siècle.

A l'image d'un précédent mémoire sur la population de Velles à la fin du dix septième siècle, nous publions ces travaux sous forme de feuilleton. Ce chapitre 39 poursuit l'analyse des charges de la "Ferme Générale".

"Ces ponctions sont destinées à l'alimentation du bailleur et de sa famille lors de leur séjour à Beauregard."

"Donnera ledit preneur annuellement à ma dite Dame de Courcenay, dans le temps de la pêche des sus-dits étangs, la quantité de cent cinquante livres de poisson....et où ma dite dame ne jugerait pas cette quantité suffisante pour la consommation de sa maison, elle aura la liberté, chaque année, au temps de la dite pêche d'en prendre telle autre quantité et de la qualité qu'elle jugera à propos, dont elle tiendra compte audit preneur à raison du prix qu'il aura vendu ledit poisson sur la chaussée. (Bail de ferme générale conclu en 1784 en faveur de Louis Geoffrion."

"....A cet effet (séjour du bailleur à Beauregard) lesdits sieurs et dame preneurs seront tenus de mettre dans les greniers et à part tous les ans six charois de foin de quatorze à quinze quintaux chacun, trois cents boisseaux d'avoine, cent boisseaux de marseiche mesure de Châteauroux" (Bail de ferme générale du 29 septembre 1770 conclu en faveur d'Alexis Travers Desriaux).

Il n'est guère possible de calculer le poids de ce droit, en particulier pour les céréales puisque nous ne disposons d'aucun chiffre de récolte. On peut cependant constater une certaine aggravation du prélèvement entre 1756 et 1770 : aggravation quantitative, mais également en valeur.

La charge prélevée en 1756 concerne cent boisseaux de froment et soixante boisseaux d'avoine montant à quatre vingt treize livres, à partir des évaluations par boisseau de céréales fournies dans le bail.

Or en 1770, cette même charge se trouve passée à six charrois de quatorze à quinze quintaux chacun, trois cents boisseaux d'avoine et cent boisseaux de marseiche, le tout atteignant la somme de deux cent quatre vingt seize livres (les estimations pour chaque céréale et le foin étant fournies par la Régie : un boisseau d'avoine : huit sols, un boisseau de marseiche : seize sols, un quintal de foin : une livre dix sols).

                                                                                          ( A suivre )


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L'atelier se réunit les mercredi soir de 18h 30 à 20h00, dans le local de l' ancienne colonie.

La feuille de route 2015, prévoit la réalisation d'une exposition sur la Guerre 14-18.






 

 

vendredi 14 août 2015

La seigneurie de Beauregard au 18 ième siècle, chapitre 38

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

Les sujets abordés sont variés et permettent de mieux comprendre la vie locale au cours des siècles.

La consultation des archives départementales est toujours riche de surprises. La dernière trouvaille est un mémoire de maitrise, réalisé par une étudiante de l'université Paris-1, Monique Labaye.

Il traite, pour notre plus grand plaisir, de la Seigneurie de Beauregard au dix huitième siècle.

A l'image d'un précédent mémoire sur la population de Velles à la fin du dix septième siècle, nous publions ces travaux sous forme de feuilleton. ce chapitre 38 poursuit l'analyse des charges de la "Ferme Générale"

"Les baux distinguent une autre série de dixmes. Elles sont prélevées par la cure de Velles :
S'obligeant les sieurs et dame preneurs de payer annuellement les rentes et dixmes dû au roi ainsi qu'au curé et à la paroisse de Velles. (Bail de ferme générale du 28 juin 1770 conclu en faveur de Monsieur Travers Desriaux).

La part quantitative prélevée par la cure de Velles est fixée dans un bail de 1780 à vingt quatre boisseaux de seigle. Ces vingt quatre boisseaux équivalent au quart de ce qui peut être emblavé en seigle dans une des unités d'exploitation ; il s'agit donc dans ce cas précis d'une ponction assez faible.

La rente ou dixme, le terme étant employé alternativement, est également le fait de particulier:
"Payera également ledit preneur, sans diminution du prix annuel du présent bail, la rente de cinquante huit boisseaux d'avoine dûs à Monsieur Crublier" (Bail du 29 septembre 1780 conclu en faveur de Louis Geoffrion).

Les clauses de bail de ferme générale font également une part à des prélèvements de nature différente, et qui ne sont pas sans évopuer les réminiscences d'un droit de gîte.
Il s'agit de fonctions uniquement faites en nature sur le produit des étangs et sur les céréales.

Alors que le prélèvement opéré sur les étangs se trouve mentionné d'un bout à l'autre de la période concernée, celui des céréales se maintient jusqu'en 1770".

                                                                                                ( à suivre)

 
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L'atelier se réunit les mercredi soir de 18h 30 à 20h00, dans le local de l' ancienne colonie.

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jeudi 13 août 2015

Paroles de Poilus (27)

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

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Dans le cadre de la préparation d'une exposition, prévue en fin d'année sur la Guerre 14/18, nous avons pu grâce à l'amabilité de plusieurs familles du village redonner vie à de nombreux documents d'époque, en particulier des correspondances entretenues entre les jeunes hommes mobilisés au front et leur famille. 
  
Nous publions ces textes, laissés dans leur jus, orthographe et ponctuation , dans une rubrique intitulée Paroles de Poilus.

 23-06-1916
« ….Depuis hier soir, je suis heureux d'avoir appris que ton pauvre frère été prisonnier je t'assur que ci il y a que ma fait plaisir et bien c'est la tienne quand je recevait de tait nouvelles je lizais toujhours la tienne la première pour voir qui il était devenu et hier quand j'ai appercu que tu avait mie je suis enchanté de te donné des nouvelles de mon frère, je me suis dit il y a du bon.... »                                    
                                                 Joseph


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samedi 8 août 2015

Paroles de Poilus (26)

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

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Dans le cadre de la préparation d'une exposition, prévue en fin d'année sur la Guerre 14/18, nous avons pu grâce à l'amabilité de plusieurs familles du village redonner vie à de nombreux documents d'époque, en particulier des correspondances entretenues entre les jeunes hommes mobilisés au front et leur famille. 
 
Nous publions ces textes, laissés dans leur jus, orthographe et ponctuation , dans une rubrique intitulée Paroles de Poilus.


 412-15-11-1917
« ….moi sa va toujours comme sur des roulettes carré dans un champ de garet. Le nouveau est pas fort a part que je sai pas trop si on va pas aller voir les italiennes on est plus affecté à rien. On est a la disposition du grand manitou. En attendant le meilleur c'est qu'on est au repos. Ce sera le premier pris.... »
                                                                                     Jean Bléron

 
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L'atelier se réunit les mercredi soir de 18h 30 à 20h00, dans le local de l' ancienne colonie.

La feuille de route 2015, prévoit la réalisation d'une exposition sur la Guerre 14-18.

                                  Source Hommage aux Poilus de la Guerre 14-18







vendredi 7 août 2015

La Seigneurie de Beauregard au 18 ième siècle chapitre 37

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

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La consultation des archives départementales est toujours riche de surprises. La dernière trouvaille est un mémoire de maitrise, réalisé par une étudiante de l'université Paris-1, Monique Labaye.

Il traite, pour notre plus grand plaisir, de la Seigneurie de Beauregard au dix huitième siècle.

A l'image d'un précédent mémoire sur la population de Velles à la fin du dix septième siècle, nous publions ces travaux sous forme de feuilleton. Ce chapitre 37 aborde le détail du calcul des charges de la Ferme Générale. On peut y lire ceci :

"La part en valeur des céréales se monte à trente sept livres douze sols pour la marseiche et à trente trois livres six sols pour l'avoine, soit un total de soixante dix livres dix huit sols. Ce total comparé au fond investi en céréales, approche et dépasse la part investie dans une locature :

Locature du Petit Boisay          : cinquante deux livres
Locature des Petits Chézeaux  : cinquante sept livres

Au sein de cette rente, la part réservée aux céréales se monte à trente sept livres douze sols pour la marseiche et à trente trois livres six sols pour l'avoine, soit un total de soixante dix livres dix huit sols.

Ce total, comparé au fond investi en céréales, approche et dépasse la part investie dans une locature :
               Locature du Petit Boisay           : cinquante deux livres
               Locature des Petits Chézeaux   : cinquante sept livres

Au sein de cette rente, la part réservée aux céréales s'avère assez lourde. La détermination exacte de son poids et de son évolution ne peuvent être analysées dans le temps, dans la mesure où les baux postérieurs à 1756 n'ont pas sa précision:

"S'oblige aussi ledit preneur de payer sans diminution du prix de son bail ci-après stipulé les rentes, si aucunes sont dues sur les biens à lui ci-dessus affermés au duché de cette ville, et ce annuellement et à chacun jours qu'elles se trouveront dues et dont il rapportera quittance tous les ans audit seigneur bailleur."
(Bail conclu le 29 septembre 1780 pour la seigneurie de Boisé, en faveur de Denis Geoffrion).


                                                                                                      ( à suivre )

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Pensez à réserver votre soirée Champêtre...

 








La Seigneurie de Beauregard au 18ième siècle chapitre 36

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.

Les sujets abordés sont variés et permettent de mieux comprendre la vie locale au cours des siècles.

 
La consultation des archives départementales est toujours riche de surprises. La dernière trouvaille est un mémoire de maitrise, réalisé par une étudiante de l'université Paris-1, Monique Labaye.

Il traite, pour notre plus grand plaisir, de la Seigneurie de Beauregard au dix huitième siècle.

A l'image d'un précédent mémoire sur la population de Velles à la fin du dix septième siècle, nous publions ces travaux sous forme de feuilleton. Ce chapitre 36 continue d'aborder les charges de la Ferme Générale. On peut y lire ceci.....

"L'insertion des céréales en marseiche et avoine, peut nous indiquer, en fonction des prix donnés pour des boisseaux de céréales différentes, dans le bail de ferme générale de 1756, le poids de cette rente due au duché de Châteauroux.

Sur un plan purement quantitatif, le prélèvement de quatre vingt quatorze boisseaux de marseiche équivaut, si l'on se reporte au tableau des surfaces ensemencées, à une quantité supérieure à ce qui est emblavé en marseiche dans chaque unité d'exploitation ( la surface portant la marseiche étant comprise entre seize bosselées et quatre vingt neuf bosselées).

Pour l'avoine, la situation se trouve entièrement identique, puisque les cent six boisseaux exigés se trouvent bien au dessus de ce qui est ensemencé ( les superficies portant l'avoine étant comprises, sauf pour la locature du Plessis, entre trente huit bosselées et cent bosselées).

La rente peut également prêter à un autre type d'évaluation, dans la mesure où nous disposons dans ce même document d'une estimation en valeur de chaque céréale : six sols le boisseau d'avoine et huit sols le boisseau de marseiche.

                                                                                                         ( à suivre )

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Pensez à réserver pour la Soirée Champêtre du 22 Août 2015



 

mercredi 5 août 2015

Paroles de Poilus (25)

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.



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 390-05-10-1917
« ….je monte en ligne demain au soir et je t'assure que ses pas le filon il pleut a verse ses pas propre et puis nous avons 20 jours à être les pieds dans l'eau. Enfin  vivement la Toussaint qu'on aille voir ls petites filles de Bouesse.... »
                                                                                            A. Luneau







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dimanche 2 août 2015

samedi 1 août 2015

La Seigneurie de Beauregard au 18 ième siècle chapitre 35

L'Atelier histoire de Festi'Velles a pour objectif de faire partager le riche patrimoine du Village, en publiant régulièrement sur ce blog des articles puisés dans les différentes archives locales et départementales.



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 Ce chapitre 35 poursuit l'analyse des charges  de la Ferme Générale :

"Les charges : droits seigneuriaux, fiscalité

Si la ferme générale se traduit du côté du bailleur par une décharge quasi-totale des moyens et des cadres de mise en valeur, elle s'accompagne également de l'abandon des prélèvements fiscaux ou  autres, gérés sur ses biens.

En matière de fiscalité, à charge pour le fermier général d'acquitter le paiement du vingtième qui pèse sur les biens affermés.

Bail conclu en 1784 en faveur de Louis Geoffrion : "Payera annuellement ledit preneur en diminution du prix dudit bail les vingtièmes de tous les biens compris en iceluy....."

A cela s'ajoute le paiement de diverses rentes, à la nature multiple. Elles sont destinées d'une part au duché de Châteauroux : du fait de son statut particulier qui le place au sein de l'apanage d'Artois; à l'Eglise et à des particuliers.

En ce qui concerne les droits relatifs au duché de Châteauroux, les baux de ferme générale détaillent les rentes et la dixme. L'évaluation de la rente apparait à deux moments : en 1756 et en 1780.

L'évaluation de la rente, en 1756, révèle sa nature composite, que souligne le mélange de produits en nature : animaux de basse cour, céréales et l'apparition symbolique d'une redevance en espèce :
"Douze poules, quatre chappons, quatre vingt quatorze boisseaux de marseiche, seize boisseaux d'avoine et quatre livres deux sols deux deniers".

                                                                                                      ( à suivre)

 
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